Pourimplanter une Prothèse de Hanche, je pratique la technique Judet qui est une voie antérieure mini-invasive.Les résultats en sont excellents notamment en Lamise en place d’une prothèse ne pose techniquement pas de problème, mais le risque de fracture autour de la prothèse est possible si vous souffrez de cette maladie. Notre avis : Il est possible d’implanter une prothèse même en cas d’ostéoporose. Si vous souffrez d’ostéoporose, lisez la brochure L’ostéoporose en 100 Lintervention chirurgicale. Cette intervention dure environ 1 heure, le patient est installé en décubitus latéral (sur le côté), la voie d’abord est antérieure (par l’avant) et latérale, et après l’acte chirurgical il reste environ 1 heure à 2 heures Larthrose de la hanche (coxarthrose) peut survenir de façon primitive (sans cause retrouvée), ou secondaire (fracture, conflit osseux, infection, ostéonécrose). La coxarthrose peut devenir invalidante à différents moments de la vie d'un patient, notamment en fonction de l'étiologie de l'arthrose et du mode de vie du patient (sportif de haut niveau par exemple). En Pouréviter qu'une infection dentaire ne puisse se fixer sur la prothèse, vous devez faire une radiographie des dents et voir un dentiste avant l'intervention.Vous devez (surtout pour les femmes) faire un examen des urines (appelé ECBU) pour rechercher une infection des urines. En cas d'infection des urines, vous devez voir votre médecin traitant pour la traiter et faire un Vay Tiền Trả Góp Theo Tháng Chỉ Cần Cmnd Hỗ Trợ Nợ Xấu. En cas d’atteinte dégénérative de votre hanche arthrose, ostéonécrose, et de symptômes invalidants résistants au traitement médical, votre chirurgien peut vous proposer le remplacement de cette articulation par une prothèse totale de hanche. Il existe plusieurs manières de mettre en place cette prothèse selon la localisation de l’incision, et les structures traversées et/ou ouvertes ». L’avantage de cette voie sont le respect des structures musculaire passage entre les muscles, la diminution du taux de luxations, et une récupération réputée plus rapide . La voie antérieure de hanche n’est pas toujours possible, en particulier du fait de la morphologie du patient obésité, muscles ++ ou de sa hanche antécédents chirurgicaux, dysplasie… Les risques spécifiques de cette voie sont faibles atteinte du nerf fémoro cutané ou du nerf fémoral. Généralités sur la voie antérieure La voie antérieure de hanche ou voie de HUETER mini-invasive est un abord permettant la mise en place d’une prothèse de hanche. Cette technique permet d’obtenir une récupération fonctionnelle rapide, et diminue de façon très importante le risque de luxation. L’abord antérieur de la hanche permet en effet de ne pas traumatiser les muscles moteurs principaux de la hanche, moyen fessier et grand fessier. La récupération est ainsi plus rapide à court terme par rapport à une voie postérieure. Cet abord est qualifié de mini invasif car il permet de respecter les muscles moteurs de la hanche, ceux ci étant simplement écartés. Seules les voies antérieures mini-invasives ne comportent aucune section musculaire, et respectent les muscles abducteurs ainsi que les structures postérieures. La technique de la voie antérieure peut-être réalisée selon 2 modalités principales, avec ou sans table orthopédique, selon les habitudes du chirurgien. Personnellement j’utilise une table orthopédique spécifique pour ce type d’intervention, qui permet d’avoir une position stable et reproductible du membre inférieur. La voie antérieure de hanche n’est pas toujours possible, en particulier lorsque la morphologie de la hanche est très modifiée, c’est le cas des dysplasies sévères, des séquelles traumatiques, ou de certaines reprises chirurgicales. Une obésité importante est également une contre indication. Actuellement, je réalise plus de 90 % des prothèses de hanche de première intention par Voie Antérieure Mini Invasive Planification pré-opératoire par ordinateur de la voie antérieure Planification pré opératoire Un cliché radiographique spécial est réalisé avant l’intervention, avec positionnement d’un repère métallique boule en métal. Cette radiographie permet de déterminer précisément l’agrandissement et de faire des mesures osseuses précises. Avec l’aide de calques informatiques, correspondant exactement à l’agrandissement des clichés, on peut planifier de façon très précise le positionnement futur des implants prothétiques. Celà permet de définir le niveau de coupe osseuse adaptée, de façon à reproduire l’anatomie de la hanche. Cette planification permet d’optimiser au maximum le positionnement et la taille de la prothèse. Il existe effectivement pour chaque modèle de prothèse, plusieurs tailles pour s’adapter à toutes les morphologies osseuses. Déroulement de l’intervention L’installation du patient sur la table est en décubitus dorsal couché sur le dos. L’incision se fait en regard du relief du muscle TFL tenseur du fascia lata, sur une longueur de 6 à 10 cm 8 cm en général en fonction de la morphologie. Les muscles sont ensuite écartés, permettant d’aborder l’articulation de la hanche. La capsule articulaire est ouverte, permettant de recouper la tête fémorale, qui est alors extraite. La préparation du cotyle se fait à l’aide de fraises décalées, permettant de diminuer la taille de l’incision. Puis la pièce cotyloidienne est mise en place. Le fémur proximal est préparé, par le positionnement du membre inférieur en rotation EXTERNE, et HYPER-EXTENSION, pour favoriser l’exposition et la préparation du fémur. La tige fémorale est alors implantée. On réalise ensuite des essais, permettant de vérifier la longueur des 2 membres, la stabilité de la prothèse, et l’absence de contact inapproprié entre les implants impingement. Les implants définitifs sont alors mis en place. La fermeture du site opératoire est simplifiée, car les muscles ont été uniquement écartés. Seule la gaine du muscle TFL est resuturée, puis la peau est refermée par un surjet intradermique. Habituellement, ce type de chirurgie ne nécessite pas de drainage post-opératoire. Un exemple de voie antérieure, en vidéo. Une animation de voie antérieure Séjour en salle de réveil Après l’intervention, le patient est surveillé pendant 1 à 2 heures en salle de réveil, au sein du bloc opératoire. Retour en chambre Dès le retour en chambre, il est possible de boire, en fonction des recommandations de l’anesthésiste. Le kinésithérapeute réalise alors le premier lever, avec reprise de la marche, dans la chambre, en appui complet, avec un déambulateur ou 2 cannes. Des explications sont également données par le kiné sur les mouvements à éviter. Le protocole de récupération rapide permet le plus souvent de se passer de perfusion dès le retour en chambre, avec uniquement des comprimés anti douleur. Se lever le jour de son intervention permet de diminuer de façon très importante le risque de rétention d’urine et de sondage urinaire. Sortie de la clinique La sortie de la clinique est possible dès le lendemain de l’intervention ou après quelques jours si votre état le nécessite. Cette sortie a lieu lorsque la récupération de la marche et de l’autonomie est acquise. Le retour se fait à domicile le plus souvent. Dans certains cas particuliers, un séjour en maison de repos est possible. Si tous les critères d’admissibilité sont remplis, votre intervention peut également être envisagée en ambulatoire, avec entrée le matin et retour à votre domicile en fin de journée. Evaluez ici votre admissibilité à l’ambulatoire. Après la sortie Des pansements sont réalisés tous les 3 jours par une infirmière, à domicile. La suture est faite avec un fil résorbable, donc il n’est pas nécessaire d’enlever les fils, uniquement la boucle qui dépasse si elle n’est pas tombée toute seule avant. La marche est possible et recommandée, en appui complet, avec 2 cannes au début puis progressivement sans cannes. Le sevrage des cannes nécessite de 1 à 3 semaines le plus souvent. Une simple autorééducation est nécessaire, sauf cas particuliers. La reprise de la conduite automobile peut-être reprise dès la 3éme semaine. Une visite de controle est systématique auprès de votre chirurgien dans les mois qui suivent l’intervention. La reprise du sport ne sera envisagée qu’après accord de votre chirurgien. Pour en savoir plus sur le sport et les prothèse “Sport et prothèse” Prendre RDV Quand l'articulation est usée et la douleur omniprésente. Quand tous les gestes sont limités... alors il ne faut pas hésiter si votre chirurgien orthopédiste envisage cette intervention de prothèse de hanche. © istock SommaireUne intervention couranteDiminuer l’usure de la prothèse de hancheChaque technique a ses avantagesPlusieurs semaines de surveillance après l’opérationDu sport… mais pas de marathon avec une prothèse !Pour mieux comprendreLes premiers jours après l'interventionLes précautions à prendre Une intervention courante Chaque année, plus de 100 000 personnes se font poser une prothèse de hanche. C'est le rhumatologue ou le médecin généraliste qui vous adresse à un chirurgien orthopédiste. Celui-ci propose une prothèse quand l'usure articulaire entraîne des douleurs importantes, résistant à tous les traitements. Il est important de ne pas se décider trop tard, de ne pas attendre que la limitation des mouvements ait déjà eu un retentissement sur les muscles, les ligaments et les tendons entourant l'articulation. La récupération de sa souplesse et de sa mobilité est à ce prix. Avec 40 ans de recul et des millions de patients opérés dans le monde, l'intervention qui consiste à remplacer l'articulation de la hanche a fait ses preuves. Désormais, les prothèses sont de plus en plus performantes. Au début, seules existaient les prothèses cimentées. Depuis une vingtaine d’années, les prothèses sans ciment se développent. Aujourd'hui, tous les patients bénéficient de ce procédé. Reste à choisir la prothèse taille, matière la mieux adaptée à chacun. En quatre décennies, les chercheurs ont travaillé pour augmenter la survie de la prothèse, qui est pour le moment de 10 à 25 ans. En diminuant l'usure "là où ça frotte". Résultat les prothèses sont des petits bijoux de technologie et leur composition a évolué. Il existe plus de 400 modèles, chacun ayant ses qualités et ses défauts. Différents matériaux peuvent être utilisés pour leur fabrication polyéthylène, acier, titane, céramique. À lire aussi Prothèse de la hanche l'opération elle sera vite oubliée Diminuer l’usure de la prothèse de hanche Actuellement, les spécialistes ne sont pas d'accord pour définir la prothèse "Idéale". La céramique d'alumine a l'avantage de ne générer que très peu de débris et de résister à l'épreuve du temps. Le polyéthylène est davantage un facteur d'usure, mais de nouvelles générations de ce polymère sont à l'étude. Étant donné les progrès accomplis depuis les années 1960 dans la qualité des matériaux utilisés, les cassures sont devenues exceptionnelles. Pourtant, il y a quelques années, on a déploré la rupture de certaines prothèses en céramique de zircone. L'ANSM L'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé a suspendu provisoirement la distribution de certaines prothèses en cette matière. Cet organisme conseille d'ailleurs aux spécialistes ayant posé ce type de prothèses de suivre régulièrement leurs patients, voire de leur proposer un changement de la tête en zircone par une tête métallique pour éviter un éventuel problème. Les patients pourront se renseigner auprès de leur chirurgien. Chaque technique a ses avantages Pour restaurer le fonctionnement normal de l'articulation, les chirurgiens ont mis au point plusieurs techniques opératoires. Celles-ci diffèrent par la localisation de l'incision. La voie est choisie en fonction des caractéristiques anatomiques, du poids du patient... mais également des habitudes du chirurgien », explique le Dr Jacques Caton. L'opération la plus courante se fait par voie postérieure incision en arrière de l'articulation. Point fort le patient peut remarcher rapidement. Point faible cette technique augmente un peu le risque de luxation postérieure de la hanche. Depuis une dizaine d'années, des chirurgiens utilisent la voie antérieure. Point fort l'incision en avant de l'articulation évite toute lésion musculaire et permet également de se remettre très rapidement debout. Elle devrait se développer à l'avenir, avec l'essor de la chirurgie mini-invasive », estime le Dr Lesur. Autre possibilité, la voie latérale. Deux techniques existent, mais la récupération de la marche se fait parfois plus lentement. À lire aussi Prothèse de la hanche quelle opération, quels résultats ? Plusieurs semaines de surveillance après l’opération L'usure de la prothèse est provoquée par des particules, notamment celles en polyéthylène, entraînant une réaction inflammatoire pouvant altérer l'os ostéolyse autour de la prothèse. Il faut repérer, par des contrôles radiologiques, toute anomalie éventuelle pour intervenir avant que les dégâts osseux ne provoquent des douleurs et un descellement de la prothèse. Le bon rythme de surveillance ? Trois mois après l'intervention, puis un an après, ensuite tous les deux à trois ans », suggèrent les chirurgiens. Certains problèmes doivent alerter. Ainsi, une douleur, ou une boiterie, impose une consultation immédiate. Idem en cas d'apparition de douleur aiguë et de fièvre, de rougeur de la cicatrice ainsi que de gonflement douloureux de l'articulation. Du sport… mais pas de marathon avec une prothèse ! Un patient porteur d'une prothèse de hanche doit mener une vie normale. Mais il faut éviter le parapente... et tous les sports qui impliquent des microtraumatismes répétés, des impacts ou des chutes. Exit le football, le judo, le basket-ball et le marathon... à remplacer par la marche, le vélo ou encore la natation. Il faut suivre en tout point les recommandations du chirurgien. En sachant que celles-ci vont être plus strictes dans les mois qui suivent l'intervention. Et surtout faire surveiller régulièrement sa prothèse... Pour mieux comprendre En cas d'arthrose, la prothèse est totale, c'est-à-dire qu'elle va remplacer les deux composantes de l'articulation. Avec une partie "côté fémur", constituée d'une sphère prolongée par une tige métallique, et une partie "côté bassin", destinée à être fixée sur la cotyle, la zone articulaire de l'os iliaque. Le mode d'ancrage de la tige dans l'os varie. II existe deux options. Sans ciment la prothèse est ancrée de façon biologique. Elle est recouverte d'un enduit de surface microporeux et l'os, en perpétuel renouvellement, va venir habiter ces pores et, ainsi, stabiliser définitivement la prothèse. Les premiers jours après l'intervention Il faut maintenir l’articulation dans une position idéale au moment où elle se stabilise. Le mieux est de dormir avec un oreiller entre les jambes pendant les deux à trois premières semaines après l’intervention La rééducation est fondamentale dès les premiers jours pour retrouver confiance et mobilité. À continuer avec l'aide d’un kiné, à domicile ou dans un centre spécialisé selon ravis du chirurgien. Il faut aménager sa maison. En mettant, par exemple, un rehausseur de toilettes, des barres d’appui dans la salle de bains, des sièges hauts avec accoudoirs... Vous avez la sensation que la jambe est plus longue ? Cette impression va se "tasser" en trois à six mois. De toute façon, une petite inégalité de longueur n'est pas préoccupante. Soyez patient. En pratique, il faut six mois à un an avant d'obtenir un résultat optimum, Après, huit personnes sur dix "oublient" leur prothèse. Les précautions à prendre Certains gestes sont à bannir ou à limiter pour que la prothèse ne se déboîte pas. Ainsi, éviter de croiser les jambes en position assise et de s’accroupir. Les piqûres dans la fesse sont à proscrire. Et pas d'infiltration sans avis préalable du chirurgien. Traiter toutes les infections - nez, gorge, dents... - pour éviter que les germes ne migrent et n'infectent la prothèse. Bien désinfecter toutes les égratignures et éviter les séances de pédicure trop agressives, pour la même raison, Demander un certificat au chirurgien au cas où la prothèse ferait sonner les alarmes de contrôle dans les aéroports. À lire aussi Des prothèses ingénieuses pour les jambes, pieds et genoux Error 403 Guru Meditation XID 419736272 Varnish cache server Le mot du chirurgien “Le paysage de la chirurgie de la hanche s’est profondément modifié ces dernières années. Nos patients sont plus jeunes, et même les moins jeunes ont des exigences sportives importantes. La meilleure compréhension des pathologies de la hanche du sujet jeune, l’arthroscopie de hanche, les prothèses de hanche sur mesure ou les techniques modernes de révision de prothèses ont transformé nos pratiques chirurgicales. Je pense que notre rôle est de remettre le patient au centre de sa prise en charge et de répondre à sa demande. Une hanche qui souffre est un frein à l’épanouissement global, qu’il soit personnel, professionnel ou sportif. Mon ambition est d’apporter des solutions personnalisées pour que chacun puisse de nouveau profiter de la vie en ayant confiance dans sa hanche et dans ses capacités.” L’expertise du docteur Idriss Tourabaly s’articule autour de 4 axes Le traitement des pathologies de la hanche du sportif, grâce à l’arthroscopie de hanche. Il a appris cette technique moderne mini-invasive grâce à sa rencontre avec le docteur Thierry Boyer et Alexis Nogier. La chirurgie de la hanche par voie antérieure. Cette technique développée à Paris permet d’accéder à la hanche sans aucun traumatisme musculaire. Il s’agit d’une technique respectueuse de l’anatomie. L’implantation de prothèse totale de hanche sur mesure planifiée en 3D. Cet outil permet de s’adapter à toutes les formes de hanche que ce soit pour les patients jeunes, les sportifs ou les patients plus âgés. La prise en charge des hanches prothésées en difficultés. Ce programme de consultation collégiale de conseil en collaboration avec les docteurs Nogier, Debiesse et Courtin nous permet de recevoir les patients ayant des résultats imparfaits avec leur prothèse de hanche. Portrait du Dr Idriss Tourabaly Sociétés savantes Membre du Collège de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique. Membre de la Société Française de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique. Membre de la Société Française d’Arthroscopie. Diplômes DESC Chirurgie Orthopédique et Traumatologique. MEDAILLE D’ARGENT Thèse de doctorat en médecine. Master 2 Méthodes en Évaluation Thérapeutique Pr Ravaud. DES Chirurgie générale. DIU Pathologies chirurgicales du genou Pr Hernigou. DU Pathologie de la hanche Pr Courpied. DU Microchirurgie Pr Masquelet. DU Anatomie de l’appareil locomoteur Pr Gagey. MSBM d’Informatique Médicale et Technologie de la communication. MSBM d’Immunologie. Formations Ancien Praticien Hospitalier Contractuel Hôpital Lariboisière. Ancien Chef de Clinique – Assistant des Hôpitaux de Paris Hôpital Lariboisière. Ancien interne de chirurgie des hôpitaux de Paris. Ancien externe de médecine CHU Pitié-Salpêtrière. Ouvrages et revues scientifiques 2021 Rougereau G., Rabot C., de Thomasson E., Tourabaly I., Mazel C., Langlais T, Ollat D. Sexual Activity Resumption after Total Hip Arthroplasty A Satisfaction Survey in 101 Patients. 2021 Nogier A., Tourabaly I., Barreau X, Ramos-Pascual S, van Rooij F., Saffarini M., Courtin C., Little or No Differences in Hip Morphology Between Professional Dancers and Controls A Systematic Review, 2021 2020 Khiami F., Tourabaly I., Traumatologie du sport. Conflit antérieur de hanche, 2020 Tourabaly I., Ed. Springer. Hip preservation Surgery – Open, Arthroscopic and Endoscopic Techniques. Chapter Joint Lavage, synovectomy, biopsy and loose body removal. 2020 2017 Rathi R, Tourabaly I, Nogier A., J Orthop. Two-incisions direct anterior approach for THR Surgical technique and early outcome. eCollection 2017 Sep. 2015 Rousseau R., Krantz N., Girard J., Nogier A., Baraduc E., Tourabaly I. La revue Médecins du Sport. Controverse – La coxarthrose du sujet jeune Prothèse de hanche ou Resurfaçage ? 2015 Tourabaly I., Boutron I., Nizard R., Ravaud P., ASSIST applicability scoring of surgical trials. an investigator-reported assessment tool, 2015 2011 Dr Tourabaly I. 17e journée de traumatologie de la Pitié-Salpêtrière, Traumatologie du rachis cervical, Chapitre Luxation / fracture uni-articulaire du rachis cervical inférieur. 2011. Prendre Rendez-vous avec le Docteur Idriss Tourabaly Pour prendre rendez-vous avec votre praticien, contactez le Par téléphone au 06 64 03 22 78 Par mail

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